Prise de mesure d’humidité : 

L’hygromètre mesure la résistance électrique des matériaux, qui varie en fonction de l’humidité contenue. Le poids d’eau dans le matériau est généralement exprimé en % de la masse. 

Test de pression : 

Après avoir raccorder nos manomètres sur un robinet, nous fermons l’arrivée d’eau. Nous laissons le réseau sous pression avant de contrôler le résultat. 

Endoscopie : 

Grâce à la fibre optique et à une sonde vidéo miniature, nous inspectons l’état des réseaux. La visualisation se fait grâce à un moniteur couleur intégré.

Le colorant UV : 

Ce colorant incolore à l'œil nu réagit très bien avec une lampe à ultra-violet, ce qui permet de ne pas tacher les surfaces sur lesquelles il est utilisé. 

L'électroacoustique : 

Une fuite génère des vibrations. À l'aide d'un micro amplificateur, le professionnel va pouvoir localiser la zone générant ces ondes.

Le gaz traceur : 

Méthode précise et rapide, elle consiste à injecter un gaz sous pression dans les canalisations purgées. Grâce à un appareil spécifique, le professionnel pourra détecter les émissions de gaz émanant de la source de la fuite.

Le fumigène : 

Il consiste à injecter un mélange d'air et de fumée sous pression afin de constater tous les défauts d'étanchéité d'une canalisation ou d'une toiture. 

L'inspection vidéo : 

Elle consiste à introduire une petite caméra directement dans le réseau d'eaux usées ou dans un endroit difficile d'accès pour détecter les défauts et les fuites potentielles.

La caméra thermique : 

Elle permet d'analyser les différentes variations de température afin de localiser avec précision une fuite encastrée (plancher chauffant par exemple).